Quel pays travaille le plus ?

Quel pays travaille le plus ?

La Corée du Sud réduit la durée maximale hebdomadaire de travail de 68 heures à 52 heures afin d’accroître la productivité du pays et le nombre de naissances.

Mais la semaine de travail moyenne varie selon l’endroit où vous vivez dans le monde. Alors, quels sont les pays qui travaillent le plus ?

En mars, l’Assemblée nationale de la Corée du Sud a adopté une loi qui donnera à une partie importante de sa main-d’œuvre un répit bien mérité. C’est le pays développé qui a les heures de travail les plus longues, selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Cette nouvelle loi entrera en vigueur en juillet 2018, bien qu’elle ne s’applique initialement qu’aux grandes entreprises avant d’atteindre les petites entreprises.

Malgré l’opposition des milieux d’affaires, le gouvernement sud-coréen estime que la loi est nécessaire pour améliorer le niveau de vie, créer plus d’emplois et stimuler la productivité.

L’exception à la règle

Le gouvernement sud-coréen croit également que le taux de natalité du pays, qui a considérablement diminué au cours des dernières décennies, pourrait même augmenter.

La Corée du Sud a des horaires de travail plus longs que n’importe quel autre pays développé : une moyenne de 2 069 heures par an, par travailleur, selon les données de 2016 compilées par l’OCDE.

L’analyse a porté sur 38 pays et a montré que seuls les Mexicains (2 225 heures/an) et les Costariciens (2 212 heures/an) travaillaient plus longtemps.

Les Sud-Coréens ont renversé une tendance mondiale : des études menées par l’Organisation internationale du travail (OIT) montrent que les pays à revenu faible et moyen ont tendance à travailler plus longtemps que leurs homologues plus riches, grâce à une multitude de facteurs qui incluent la proportion de travailleurs indépendants dans la population active, la baisse des salaires, l’insécurité de l’emploi et les questions culturelles.

Mais la Corée du Sud n’est pas le seul pays riche à défier la norme. Le Japon a un problème de “mort par surmenage”, exprimé non seulement par les statistiques mais aussi par le fait que la langue japonaise a un mot pour cela : karoshi.

En termes plus spécifiques, le mot signifie que les employés meurent de maladies liées au stress (crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux) ou qui se suicident à cause des pressions du travail.

La moyenne de 1 713 heures travaillées par an au Japon n’est pas parmi les plus élevées de la liste de l’OCDE, mais au-delà de ce nombre, il y a la triste réalité que le pays n’a aucune législation stipulant une limite maximale d’heures hebdomadaires et aucune limite d’heures supplémentaires.

Au cours de la période 2015-16, le gouvernement a enregistré un nombre record de 1 456 cas de karoshi. Les groupes de défense des droits des travailleurs affirment que les chiffres réels pourraient être beaucoup plus élevés en raison du manque de signalement.

Selon les chiffres les plus récents de l’OIT, l’Asie est le continent où le nombre d’heures de travail est le plus élevé : la plupart des pays (32%) n’ont pas de limite nationale universelle pour la durée maximale hebdomadaire de travail et 29% ont des seuils élevés (60 heures hebdomadaires ou plus). Et seulement 4 % des pays respectent les recommandations de l’OIT et fixent les normes internationales du travail à un maximum de 48 heures ou moins pour la semaine de travail.

Dans les Amériques et les Caraïbes, 34 % des pays n’ont pas de limite d’heures hebdomadaires universelles, le taux le plus élevé dans la région. L’un des pays sans limite sont les États-Unis.

Mais c’est au Moyen-Orient où les limites légales sont plus larges pour les longues heures : huit pays sur dix autorisent des heures de travail hebdomadaires supérieures à 60 heures par semaine.

En Europe, cependant, tous les pays ont une durée maximale hebdomadaire, et seuls la Belgique et la Turquie ont une durée légale de travail supérieure à 48 heures.

Les villes “accro au travail”

Mais c’est en Afrique que l’on trouve le plus grand nombre de pays dans lesquels plus d’un tiers de la population active travaille plus de 48 heures par semaine. Le taux en Tanzanie, par exemple, est de 60 %.

Des enquêtes ont également identifié les villes en termes d’heures moyennes. En 2016, la Banque Suisse UBS a publié une analyse de 71 villes qui montrait que Hong Kong avait une moyenne de 50,1 heures de travail hebdomadaire, devant Mumbai (43,7), Mexico (43,5), New Delhi (42,6) et Bangkok (42,1).

Les Mexicains, en plus des heures les plus longues, sont également soumis à l’un des systèmes de vacances les plus minces du monde : leur congé annuel minimum légal payé est inférieur à 10 jours, comme au Nigeria, au Japon et en Chine, par exemple, alors que le Brésil offre un minimum de 20 à 23 jours.

Mais cela pourrait être pire. En Inde, où il n’existe pas de limite nationale universelle pour le nombre maximal d’heures de travail, les travailleurs ne bénéficient pas d’un nombre minimum garanti de congés annuels.

Les tendances Data Marketing en 2018

Les tendances Data Marketing en 2018

En 2018, l’intelligence géospatiale fournira aux entreprises les informations nécessaires pour guider de meilleures décisions basées sur les données et augmenter leurs résultats en utilisant les données de localisation et les écritures analytiques. 2018 sera l’année où les consommateurs et les détaillants chercheront à acquérir un avantage concurrentiel et à mieux comprendre le comportement de leurs clients. En fait, les analystes classent le Data Marketing au deuxième rang des activités marketing les plus susceptibles d’avoir un impact commercial sur leurs activités. Nous allons nous intéresser aux prédictions en matière de data marketing pour l’année 2018.

Les attentes des usagers mobiles seront élevées

Les entreprises qui ne comprennent pas que leurs sites mobiles sont lents souffriront de taux de désinscription progressivement plus élevés. Le reste du web mobile deviendra simplement plus rapide au fur et à mesure que les développeurs travailleront sur la vitesse, que les entreprises adopteront les applications web progressives et que les pages mobiles accélérées deviendront plus courantes. Les utilisateurs auront des attentes plus accrues.

L’apprentissage automatique ne pourra être ignoré

Le machine learning et le deep Learning excellent dans certains types de tâches et il est très clair qu’ils seront déployés dans de nombreuses tâches d’analyse marketing. La plate-forme de ciblage publicitaire de Facebook et le moteur de recommandation d’Amazon sont pilotés par l’apprentissage automatique. L’apprentissage automatique deviendra de plus en plus puissant partout où un niveau élevé de personnalisation est requis, c’est-à-dire l’essence même du data marketing.

L’apprentissage automatique deviendra de plus en plus important pour les activités d’analyse marketing. Ce sera en partie à cause de ses capacités de prédiction supérieures ainsi que de son aptitude à mieux exploiter les plateformes basées sur le cloud et à augmenter la puissance de calcul distribuée. Une autre raison de sa monté en puissance est que l’apprentissage automatique peut aider à cibler la bonne personne, au bon endroit, au bon moment.

La vidéo et le streaming gagneront de l’importance

Le contenu vidéo a connu une telle augmentation en 2017 que Nielsen s’est récemment associé à Facebook pour suivre la performance des annonces multiplateformes. La vidéo engage visuellement les utilisateurs tout en leur fournissant un contenu divertissant et informatif. Cette dernière partie est la clé : il ne sert à rien d’engager une équipe de production si la stratégie marketing tombe à plat. Il ne faut pas non plus perdre de vue le fait de continuer à créer du contenu attrayant à mesure que l’entreprise augmente ses capacités. Dans certains cas, l’ajout d’une animation à un article peut être très efficace pour attirer l’attention d’un utilisateur.

La transparence sera la meilleure politique

Plus d’un siècle après que The Jungle d’Upton Sinclair ait exposé comment la saucisse est fabriquée, les marques font preuve de plus de transparence, pas seulement pour la responsabilité mais aussi comme une forme de marketing. Désormais, la meilleure stratégie consiste à tout exposer, des ingrédients au processus de fabrication. En plaçant les avantages du produit comme partie intégrante d’un mode de vie intentionnel, ces points de contact abandonnent la vente forcée au profit d’une conversion lente mais régulière.

Les réseaux sociaux deviendront socialement plus conscients

Pour être visibles en 2018, les marques devront mettre l’accent sur l’authenticité et promouvoir la positivité. Les consommateurs veulent voir des personnes réelles et fiables. Les marques devront amener leurs ambassadeurs à délaisser les plateaux télé en faveur des tournages photo sur site. Grâce aux mesures avancées des médias sociaux, les marques peuvent désormais utiliser les données pour obtenir une image plus complète de leur audience. L’écoute est un élément clé de toute conversation et, à l’ère du chat en temps réel, les consommateurs demandent à être entendus.

La gouvernance des données sera un sujet de préoccupation majeur

Comme de nombreuses entreprises le savent, les vols de données récents et le délai imminent pour se conformer au règlement général sur la protection des données (GDPR) feront de la gouvernance des données un sujet sensible. Le GDPR a un impact sur toute entreprise susceptible d’entrer en contact avec un citoyen européen, y compris des entreprises basées aux États-Unis. Pour rester conformes, les entreprises devraient avoir réalisé une évaluation de l’impact de la protection des données dès maintenant et être sur la bonne voie pour remédier aux lacunes.

Combler ces lacunes devrait être considéré comme plus qu’un simple exercice de conformité. La pratique de l’utilisation éthique de données créera la confiance que les entreprises doivent établir avec les consommateurs pour utiliser efficacement leurs données dans une économie axée sur les données. Les entreprises qui cherchent à rester en tête devront transformer les activités de mise en conformité en une opportunité plus large pour renforcer leurs programmes de gouvernance des données.

La mesure basée sur les personnes deviendra mainstream

La mesure basée sur les personnes permet de connaître la portée réelle des campagnes en croisant les expositions sur plusieurs canaux et appareils. Une étude réalisée en 2017 par Forrester pour Acxiom et LiveRamp a révélé que l’adoption des mesures basées sur les personnes devrait presque doubler au cours de l’année 2018. Cette augmentation reflète la pression croissante que les marketeurs ressentent pour justifier le retour sur investissement et augmenter l’efficacité.

La télé connaîtra des bouleversements

Le paysage télévisuel continue de connaître une fragmentation sans précédent alors que les services de streaming prennent de l’ampleur et que la consommation s’étend sur plusieurs appareils. Cela provoque la rupture des approches traditionnelles de ciblage et de mesure. De plus en plus de marketeurs étendent leur utilisation de la télévision et profitent des nouveaux canaux OTT comme Roku et Hulu pour atteindre leur public cible.

On constate également une augmentation du marketing utilisant des données tierces pour définir les audiences de la télévision et mesurer l’augmentation des ventes. Alors que les achats traditionnels de télévision restent stables, on voit des signes du passage à des options plus avancées. Les entreprises qui n’auront pas terminé leurs tests initiaux dans ces domaines d’ici la fin de 2018, commenceront vraisemblablement à avoir du retard.

Comment faire pour monétiser son blog en 2018 ?

Comment faire pour monétiser son blog en 2018 ?

Du statut de hobby, bloguer est devenu une activité à plein temps et on ne compte plus les bloggeurs qui sont devenus millionnaires grâce à leurs blogs. Cependant, l’un des plus grands défis auxquels font face la plupart des membres de la communauté des blogueurs est de trouver les meilleures options de monétisation qui paient bien. Personne ne voudrait choisir une option de monétisation qui ne vaut rien pour son blog. Trouver la meilleure source de monétisation pour avoir un revenu stable et régulier est donc nécessaire. Dans cet article, nous discuterons quelques-unes des meilleures sources de monétisation qui ont un bon potentiel pour rapporter des profits élevés à long terme en 2018.

Monétiser un blog : les fondamentaux

Les bloggeurs qui veulent réussir doivent s’engager à grandir. Il ne s’agit pas seulement d’agrandir le blog, mais aussi ses compétences. Si on veut vraiment créer du succès dans n’importe quoi, pas seulement sur les blogs, on doit s’engager à grandir et à aller de l’avant. C’est l’état d’esprit de tous les blogueurs qui ont du succès.

Il faut aussi créer plusieurs flux de revenus. Penser devenir riche en exploitant un seul créneau est une erreur. Il faudra exploiter toutes les pistes possibles de monétisation, sans bien sûr verser dans la délinquance.

Un bloggeur qui veut aller loin doit également comprendre que le blogging est un processus, pas une course de vitesse. La plupart des gens qui ne parviennent pas à faire de l’argent avec leur blog le font parce qu’ils pensaient qu’ils obtiendraient des résultats du jour au lendemain. Ce n’est pas le cas. Si on veut vraiment créer un blog réussi qui rapporte de l’argent, il faut comprendre que cela prendra du temps.

Une chose non moins importante est la passion. Si on regarde les blogueurs qui ont créé de la richesse à partir de leur blog, c’est généralement ceux qui écrivent sur quelque chose pour laquelle ils ont une passion. La plupart des gens qui échouent commencent leur blog avec pour seule ambition de gagner de l’argent. Ils ne tiennent pas compte de choisir un créneau dont ils se soucient réellement. Cela les amène à abandonner parce qu’ils n’aiment pas ce qu’ils font.

L’affiliation à un réseau publicitaire

L’utilisation des publicités de tiers sur son blog est l’une des meilleures façons de monétiser son blog. C’est aussi la technique de monétisation la plus utilisée. Les blogueurs du monde entier utilisent cette option de monétisation pour générer des profits élevés sur leurs blogs. Mais, chaque blogueur doit essayer d’aller avec les meilleures sociétés de diffusion d’annonces comme Kajamba, Google Adsense ou Adcash. Ce sont quelques-unes des entreprises de diffusion d’annonces tierces les plus populaires que choisissent la plupart des blogueurs professionnels.

Il existe deux types d’annonces : les annonces pay-per-click (PPC) et les annonces CPM (cost per 1,000 impressions). Les annonces PPC sont généralement des bannières qu’on place dans son contenu ou dans sa barre latérale. Chaque fois qu’un lecteur clique sur l’annonce, le bloggeur est payé pour ce clic. Les annonces CPM sont des annonces qui rapportent un montant fixe en fonction du nombre de personnes qui voient l’annonce.

Google Adsense permet de générer des revenus sur la base d’annonces PPC tandis que AdCash et Kajamba Ad Network fournissent des revenus sur la base d’annonces CPM. Kajamba est un superbe réseau publicitaire pour diffuser des annonces de tiers sur son blog. Il fournit des taux de CPM élevés et différents formats d’annonces pour monétiser le contenu de son blog.

Google AdSense est peut-être le réseau le plus populaire pour placer ces types d’annonces. Avec ce programme, le bloggeur n’a pas besoin d’être en contact direct avec les annonceurs. Il suffit de placer simplement la bannière sur son site. Google choisit les annonces les plus pertinentes pour le contenu du blog, et les visiteurs cliquent sur les annonces.

Il existe d’innombrables programmes similaires. Des programmes tels que Chitika, Infolinks et Media.net peuvent permettre de se faire quelques euros en supplément.

La vente d’annonces privées

Travailler avec des réseaux publicitaires n’est pas la seule option lorsqu’il s’agit de vendre des annonces. Si on dispose d’un trafic suffisant, les annonceurs peuvent nous contacter directement et demander de placer leur annonce sur un blog. On peut également contacter les annonceurs soi-même. La plus grande différence avec la première option est qu’il n’y a pas d’intermédiaire, ce qui signifie qu’on peut définir ses propres tarifs publicitaires.

La vente d’annonces privées peut prendre la forme de bannières, de boutons ou de liens. On peut même gagner de l’argent en écrivant des posts sponsorisés où on donne un avis sur le produit ou le service d’un annonceur. Une autre option consiste à écrire un post ou une série souscrite, qui est l’endroit où on peut écrire sur n’importe quel sujet, mais l’annonceur paie pour une mention « Présenté par » dans le contenu.

Les façons dont on se fait de l’argent avec cela peuvent varier. Par exemple, on peut facturer des frais uniques pour un lien dans un message. Si on héberge des bannières publicitaires, on peut facturer son partenaire chaque mois. Pour maximiser ses revenus, on peut également choisir de vendre des espaces sponsorisés dans ses bulletins d’information par courrier électronique, des podcasts et des vidéos.

Le marketing d’influence

Le marketing d’influence est une tendance grandissante des médias sociaux et de la monétisation des blogs. Cela a commencé avec les stars des médias sociaux qui ont eu un énorme succès, puis c’est devenu une habitude dans la blogosphère, ce qui signifie que les blogueurs peuvent monétiser le trafic de leurs blogs grâce au marketing d’influence.

Dans le marketing d’influence, lorsqu’un utilisateur de médias sociaux ou un blogueur a un nombre décent d’adeptes dans un créneau particulier; il ou elle devient une opportunité pour les marques concernées de promouvoir leurs produits, car il coûte moins cher que les campagnes PPC ou CPM traditionnelles.

Le plus grand avantage du marketing d’influence est que les influenceurs ont des adeptes fidèles, c’est pourquoi ils pourraient recommander un produit ou un service aux abonnés et cela changerait les choses pour la marque.

Le marketing d’influence permet aux marques de trouver, de se connecter et de travailler avec les blogueurs sur Internet. D’autre part, les blogueurs offrent des opportunités promotionnelles et gagnent de l’argent sur leurs blogs. Cela peut ne pas fonctionner pour tout le monde, du moins au début. Une fois qu’on a l’engagement, le trafic et des abonnés suffisants sur son blog, on peut se lancer dans le marketing d’influence.

Inclure des liens d’affiliation dans son contenu

Le marketing d’affiliation est également un autre excellent outil pour monétiser son blog. Son fonctionnement est relativement simple.

Un annonceur a un produit qu’il veut vendre. Il accepte de donner une commission sur chaque vente si l’acheteur provient du blog. Il donne un lien unique qui suit le code d’affiliation. De cette façon, il sait quand un acheteur a utilisé le lien pour faire un achat.

Le bloggeur inclut le lien d’affiliation sur son site. Il peut le faire directement dans le contenu ou via des bannières publicitaires. Si un lecteur clique sur ce lien unique et achète le produit qui a été recommandé, le bloggeur gagne un pourcentage de ce que le client a acheté.

On peut utiliser le marketing d’affiliation à travers des réseaux publicitaires comme Amazon Associates. On peut aussi créer des partenariats privés avec des annonceurs et des entreprises disposant d’un programme d’affiliation.

Vendre des produits numériques

Les bloggeurs qui préfèrent ne pas annoncer les produits d’autres personnes sur leur site, ou ceux qui recherchent un autre flux de revenus, devraient envisager de vendre des produits numériques. Cela peut inclure des éléments tels que des eBooks, des cours en ligne ou des ateliers, ainsi que des images, des vidéos ou de la musique que des créateurs de contenus peuvent utiliser dans leur propre contenu. Il est aussi possible de vendre des applications, des plugins ou des thèmes.

Il faut juste se rappeler de choisir des choses pertinentes et utiles pour ses lecteurs. Beaucoup de blogueurs font l’erreur de supposer qu’ils développent un produit dont leurs lecteurs ont besoin. Il faut d’abord écouter ses lecteurs, puis créer un produit numérique qui répondra à leurs besoins.

Utiliser son blog comme un outil de marketing de contenu pour son entreprise

Il est également possible de vendre des produits physiques sur son blog et de gagner de l’argent de cette façon. Au lieu de penser à faire de l’argent à partir du blog. Il faut cependant, penser au blog comme un outil de marketing de contenu qui va conduire les visiteurs vers le site web d’entreprise.

Les possibilités sont pratiquement infinies quand il s’agit de développer un blog d’entreprise. On peut y vendre des produits faits à la main, des livres, des produits manufacturés et bien plus encore. On peut aussi déjà avoir une entreprise et décider de lancer un blog pour convertir les clients fidèles.

Prenons, par exemple, le cas d’une personne qui rénove et revend des smartphones usagés à l’extérieur de sa maison. Cette personne peut utiliser un blog pour attirer les visiteurs sur le site web où elle répertorie ses téléphones en vente. Un blog pourrait couvrir des sujets sur la rénovation et le bricolage. À un certain niveau, cela semble contre-intuitif parce qu’on veut que les gens achètent des téléphones, mais cela peut aider aussi à bâtir une marque et à être reconnu.

Vendre des adhésions

Une autre option pour gagner de l’argent est de vendre des adhésions à des parties exclusives de son site web. Par exemple, un blog de carrière pourrait facturer 10 $ par mois pour les utilisateurs voulant accéder à des offres d’emploi exclusives. Un blog de startup pourrait vendre des adhésions à des forums où les gens peuvent obtenir des conseils personnalisés pour créer leur entreprise.

La clé ici est que cette adhésion exclusive doit avoir plus de valeur que quelque chose que les visiteurs peuvent trouver gratuitement ailleurs. Il faut alors s’assurer de développer quelque chose dont la valeur vaut le prix.

Le Coaching, les services et le conseil

Ceux qui ont un blog spécialisé peuvent sûrement choisir d’offrir des services, de consultation et de coaching à d’autres personnes. Un bloggeur, qui a un site web lié au SEO ou au blogging et qui souhaite enseigner des choses aux gens qui sont nouveaux dans ce domaine, peut commencer à donner un coaching en ligne à des débutants. On peut même fournir des services de SEO aux gens et facturer ces services. De même, ceux qui ont un site web consacré à la santé, peuvent donner des consultations aux personnes, s’ils ont les bonnes connaissances dans ce créneau. Ce type de monétisation devient très populaire ces jours-ci.

Créer et vendre des cours

C’est de loin l’un des moyens les plus lucratifs pour gagner de l’argent à partir d’un blog. Nous sommes à l’ère de l’information, ce qui signifie que les gens sont affamés d’informations précieuses et, pour cette raison, on peut monétiser ses connaissances de manière approfondie.

Si on a une connaissance qui peut aider à résoudre le problème de quelqu’un ou l’aider dans un aspect spécifique de sa vie, cette personne est prête à payer pour cela.

Il ne faut pas sous-estimer la puissance de ses connaissances et la création de cours. De nos jours, l’université devient de plus en plus chère. Créer des cours et les vendre en ligne devient donc une alternative beaucoup moins chère pour que les gens apprennent de vraies compétences qui les aideront. Si on peut être cette personne qui fournit la solution au problème, il est possible de gagner confortablement sa vie en écrivant des cours.

Il n’est pas rare de voir les meilleurs blogueurs tirer un salaire à 6 chiffres par mois de leurs cours en ligne. Cela peut sembler farfelu pour certains, mais cela doit être une inspiration de ce qui est vraiment possible si on prend sa carrière de blogueur au sérieux.

Utiliser le blog pour construire sa crédibilité

Bloguer pour se construire une crédibilité peut conduire à de nombreuses opportunités de faire de l’argent. Prenons, par exemple, le cas de quelqu’un qui démarre un blog dans l’industrie de la finance. Les gens commencent à lire le contenu, et le blog devient très populaire. Cette personne devient une figure reconnue dans l’industrie de la finance.

Une fois qu’on a cette autorité, les gens peuvent nous demander de coécrire un livre sur la gestion de la dette, ou on peut facturer des frais pour animer des conférences ou pour organiser des journées de formation pour des employés.

Ce n’est certainement pas une forme directe de faire de l’argent en bloggant, mais cela a marché pour de nombreux blogueurs bien connus. Des blogs populaires se sont vendus pour des dizaines, voire des centaines de milliers d’euros (parfois plus) en vendant leur marque et le contenu.

La chose la plus importante à garder à l’esprit est que faire de l’argent en bloggant n’est pas possible en mettant le site en place et en allant dormir. Il faut s’assurer d’être prêt à y mettre du temps. La plupart des blogueurs ne voient pas un pic de revenu pendant plusieurs mois, voire des années. Mais ce passage à vide, le succès pointe le nez.

Immobilier 100% entre particuliers : 7 conseils pour réussir l’achat d’un bien immobilier

Immobilier 100% entre particuliers : 7 conseils pour réussir l’achat d’un bien immobilier

Acheter un bien immobilier est votre rêve ? C’est le moment de franchir le pas. Les taux sont attractifs et permettent aux acheteurs potentiels de devenir propriétaire au meilleur prix.

Acheter un bien immobilier : un pari gagnant

Vous en avez assez d’être locataire ? Assez d’avoir l’impression de jeter votre argent tous les mois par la fenêtre pour payer votre loyer ? Vous avez raison. Acheter un bien immobilier offre de nombreux avantages. Vous êtes chez vous et pouvez investir dans votre logement pour l’aménager à votre goût. Cela vous permet également de vous constituer un patrimoine immobilier que vous pourrez transmettre à vos enfants. Etre propriétaire, c’est aussi un excellent moyen de préparer sa retraite. De plus les taux des crédits immobiliers aux particuliers sont actuellement très attractifs, c’est donc le moment idéal pour vous lancer.

Toutefois acheter un bien immobilier ne s’improvise pas. Il faut choisir le bon logement. S’assurer qu’il est en bon état pour ne pas avoir de mauvaises surprises, savoir le négocier pour l’acheter au meilleur prix et arriver à décrocher un bon crédit pour ne pas s’endetter trop longtemps ni trop lourdement.
Spécialiste de l’immobilier de particulier à particulier depuis 1992, L’immobilier 100% entre particuliers vous donne quelques conseils pour réussir votre projet d’acquisition immobilière.

Définir vos besoins pour être sûr d’acheter le bon bien immobilier

Avez-vous besoin d’un box pour garer facilement votre véhicule ? D’un jardin pour que vos enfants puissent jouer à l’extérieur ou pour organiser des barbecues entre amis ? Faut-il que votre future habitation soit proche d’une école, de commerces, d’un hôpital, d’une station de métro, de tramway ou d’une gare ? Listez attentivement les points qui sont essentiels pour vous. Les besoins sont différents d’une personne à l’autre et sont fonction de nombreux critères, selon que vous ayez le projet de fonder une famille, de cultiver votre potager, d’être en ville pour profiter des infrastructures, d’acquérir un nouveau logement pour y passer vos vieux jours. Lorsque vous aurez trouvé un logement à votre goût, et avant de vous engager, consultez la liste que vous aurez établie pour être sûr que l’appartement ou la maison que vous prévoyez d’acheter corresponde bien à vos attentes. Si par exemple la présence d’un ascenseur est un critère clé pour vous, ne craquez pas pour un logement qui n’en possède pas.

L’acheteur potentiel doit évaluer son budget pour cibler ses recherches d’achat immobilier

Le deuxième point important pour ne pas perdre de temps dans le choix de votre logement est de connaitre avec précision votre budget rappelle L’immobilier 100% entre particuliers. Avant de consulter les annonces sur internet et en agence, il faut prendre rendez-vous avec son banquier conseille le leader de la diffusion d’annonces de particulier à particulier. Evaluez avec lui votre capacité de remboursement et faites également le point sur les différentes formes de crédits qui existent et auxquelles vous pouvez prétendre (prêt à taux zéro, prêt modulable…).

Pensez à chiffrer parallèlement le coût de l’assurance emprunteur et le montant des frais de notaire.

Consulter les offres d’achat immobilières

Une fois que vous avez fait le point sur vos besoins en termes d’habitation et que vous connaissez le budget que vous pouvez consacrer à votre acquisition, vous pouvez vous lancer dans vos recherches immobilières. Pour élargir votre choix, L’immobilier 100% entre particuliers recommande aux acheteurs potentiels de multiplier les sources de recherche.

Les annonces de particuliers permettent d’économiser les frais de commission à la vente tout en sécurisant l’achat. En effet, comme pour toute transaction immobilière, l’acquisition passe par un notaire. Celui-ci peut intervenir dès la signature du compromis de vente. L’avantage de cette formule c’est qu’en passant directement par le vendeur, l’acheteur potentiel n’a pas à payer les honoraires d’agence. Un bon moyen pour acheter au meilleur prix ! Il bénéficie d’un budget plus important et, en prime, il est en contact avec le meilleur interlocuteur qui soit. Qui connait en effet mieux le bien à vendre que son propriétaire ?

Bon à savoir. De nombreux sites spécialisés dans la diffusion d’annonces de particuliers comme L’immobilier 100% entre particuliers permettent aux acheteurs potentiels de créer gratuitement des alertes-mails. Vous pouvez ainsi définir vos critères de choix (type de bien, surface, prix…) et être informé dès qu’un nouveau bien correspondant à vos critères est disponible. Un bon moyen pour acheter malin au meilleur prix.

Les annonces en agence sont également à consulter. En règle générale les agences immobilières fonctionnent par secteur géographique ce qui est très pratique si vous souhaitez visiter des logements dans une zone précise.

On n’y pense pas toujours, mais les notaires ont souvent un service immobilier et il n’est pas rare qu’ils disposent d’une liste de biens à vendre dans un secteur donné. N’hésitez pas à contacter votre notaire conseille L’immobilier 100% entre particuliers. En plus celui-ci pourrait vous conseiller pour acheter au meilleur prix et vous aider dans vos démarches.

Vérifier les diagnostics immobiliers de la maison ou de l’appartement que vous souhaitez acheter

Une fois que vous aurez repéré le logement de vos rêves, sachez bien décrypter les diagnostics immobiliers. Cela vous évitera les mauvaises surprises explique L’immobilier 100% entre particuliers. En effet, si par exemple le diagnostic électricité indique que l’installation électrique est défectueuse, vous devrez budgétiser les frais de remise en état.

Le dossier de diagnostic immobilier peut dans ce sens être un support idéal pour négocier le prix d’achat. Dans le cas où le logement dispose d’un mauvais DPE, ou qu’un autre diagnostic fait défaut, vous pouvez justifier que le prix est trop élevé au vu des dépenses énergétiques ou des travaux que vous aurez à supporter.

La liste des différents diagnostics varie selon le type de bien et sa localisation rappelle L’immobilier 100% entre particuliers. Le diagnostic de performance énergétique (DPE) concerne tous les biens à vendre. Le mesurage Loi Carrez ne s’applique qu’aux biens en copropriété. Le diagnostic amiante doit être fourni par le vendeur si le permis de construire du logement à vendre a été délivré avant le 1er juillet 1997. Le diagnostic plomb est obligatoire pour les appartements ou les maisons dont la date de construction est antérieure au 1er janvier 1949. Les diagnostics gaz et électrique sont eux obligatoires lorsque les installations de gaz ou d’électricité ont plus de 15 ans. Le diagnostic ERIS (anciennement ERNMT) de même que le diagnostic termites concerne uniquement les biens situés dans une zone déclarée à risque par arrêté préfectoral. Le diagnostic installation d’assainissement non collectif s’applique lui aux maisons et aux appartements qui ne sont pas raccordés au réseau public de collecte des eaux usées (tout-à-l’égout). Le diagnostic piscine doit être réalisé par le propriétaire vendeur si le logement est équipé d’une piscine ou d’un spa enterré dont le dispositif de sécurité est antérieur au 3 janvier 2003.

Certains diagnostics sont facultatifs. Ils permettent de vous faire une idée précise du bien que vous vous apprêtez à acquérir, ne les négligez pas.

Différencier la promesse d’achat et le compromis de vente

La promesse d’achat n’engage que l’acheteur explique L’immobilier 100% entre particuliers. Le vendeur accepte ou refuse l’offre formulée par l’acheteur potentiel en fonction d’un délai défini dans le document.

Le compromis de vente engage en revanche les deux parties. L’acheteur verse des frais d’immobilisation d’un montant de 5 à 10% du prix du bien. Si les conditions suspensives ne sont pas réalisées (par exemple si l’acquéreur n’obtient pas de crédit pour financer l’achat du bien ou l’accord de la copropriété pour effectuer des travaux si ce point figurait dans la liste des conditions suspensives) celui-ci récupère les frais versés.

A savoir. Qu’il choisisse l’une ou l’autre des formules, l’acheteur dispose depuis le 8 août 2015 d’un délai de réflexion de dix jours.

Afin de protéger vos droits, il est préférable de passer par un notaire conseille L’immobilier 100% entre particuliers d’autant que vous pouvez choisir un notaire différent de celui du vendeur sans que cela n’engage de frais supplémentaires. Les deux officiers se partagent en effet les frais. Ce professionnel vous conseillera et pourra également vous aider à négocier avec le vendeur pour acheter votre bien dans les meilleures conditions.

Décrocher un crédit immobilier pour financer l’achat au meilleur prix

Une fois que vous avez effectué toutes ces démarches il est temps de prendre rendez-vous avec des établissements bancaires cette fois pour obtenir un prêt pour financer votre logement. Faites jouer la concurrence martèle L’immobilier 100% entre particuliers et soyez attentif au TAEG. Anciennement appelé TEG, le TAEG (l’acronyme de taux annuel effectif global), est le taux d’intérêt qui regroupe la totalité des sommes que vous devrez payer pour le crédit en dehors du remboursement de la somme empruntée. C’est l’élément à prendre en compte pour bien comparer les différentes offres de prêt.  Le TAEG comprend les intérêts bancaires, les frais de dossier, le coût de l’assurance obligatoire, les frais de garantie ainsi que tous les autres frais qui sont imposés pour obtenir un prêt. En revanche sachez qu’il n’inclut pas les frais d’acte notarié, soyez donc vigilant dans vos calculs.

Les taux immobiliers sont actuellement attractifs. Mais savez-vous qu’ils différent selon les régions et selon les profils de l’emprunteur ? Plus votre dossier sera bon et plus votre taux sera avantageux. Pour mettre toutes les chances de votre côté, sachez convaincre votre banquier. Si vous disposez d’un apport personnel peu important et que vos revenus sont modestes montrez-lui que vous savez correctement gérer votre argent. Pour cela faites attention à ne pas avoir eu de découverts bancaires pendant les mois qui précèdent votre demande.

Tenir compte des frais annexes inhérents à tout achat immobilier

Pour que votre achat immobilier ne tourne pas au cauchemar, n’oubliez pas que l’achat d’une nouvelle habitation s’accompagne toujours de frais annexes qui viennent s’ajouter au prix de vente et aux frais de notaire rappelle  L’immobilier 100% entre particuliers. Certains acheteurs sont parfois contraints de revendre parce qu’ils ont mal estimé leurs dépenses ce qui est vraiment regrettable.

Il vous faut penser notamment aux impôts locaux mais aussi aux frais de déménagement. Ne négligez pas non plus les dépenses relatives aux petits travaux que vous pourrez être amené à effectuer. Même si le logement que vous avez choisi est en bon état il n’est pas rare de constater après coup des petits défauts, un robinet qui fuie ou une peinture défraichie. Sans compter qu’un changement de domicile s’accompagne souvent d’un renouvellement de la décoration. Il arrive en effet souvent qu’il faille changer d’appareils électroménagers ou de meubles (parce que la machine à laver ou le canapé n’est pas à la bonne taille par exemple).

Les devoirs redoutés de Mark Zuckerberg

Les devoirs redoutés de Mark Zuckerberg

Si vous avez regardé chaque minute du témoignage de Mark Zuckerberg devant le Congrès cette semaine, vous savez qu’il a prononcé une phrase, en particulier, très souvent : “Je vais demander à mon équipe de revenir vers vous.”

Pour sa défense, Zuckerberg n’avait tout simplement pas les données nécessaires sous la main pour répondre à certaines questions, par exemple, pourquoi une publicité spécifique pour un candidat politique du Michigan n’a pas été approuvée. D’autres suivis, cependant, nécessiteront un dur labeur de la part de son équipe. Ce qu’ils rendent au Congrès pourrait fournir encore plus de gros titres négatifs contre l’entreprise, car elle est forcée de divulguer plus de son fonctionnement interne qu’elle ne l’a jamais fait.

En lisant les transcriptions, j’ai compté plus de 20 cas où Zuckerberg a promis de fournir plus d’informations aux représentants. Mais ce sont ces devoirs qui, à mon avis, pourraient causer le plus de maux de tête à l’entreprise, et fournir des réponses révélatrices.

1) Les données sur les non-utilisateurs

Abordé par : Ben Lujan, membre du Congrès (Démocrate, Nouveau-Mexique)

“Vous avez dit que tout le monde peut contrôler ses données, mais vous recueillez des données sur des personnes qui ne sont même pas utilisatrices de Facebook et qui n’ont jamais signé un consentement, ou un accord de confidentialité.’’

Surnommés “shadow profiles”, les détails de ce que Facebook recueille exactement sur les personnes qui ne sont même pas inscrites au service ont toujours été un peu mystérieux. Même, apparemment, pour Zuckerberg lui-même. Il a révélé ne pas connaître les détails, mais a reconnu que l’entreprise surveillait les non-utilisateurs à des fins de “sécurité”.

Zuckerberg a promis de partager plus de renseignements sur les données recueillies sur les personnes qui ne sont pas inscrites à Facebook, ainsi qu’un compte rendu complet des données des personnes inscrites à Facebook.

Dans une demande similaire, Zuckerberg a promis de fournir des détails sur la façon dont les utilisateurs sont suivis (sur tous leurs appareils) lorsqu’ils sont déconnectés de Facebook.

2) Passer au consentement et non à l’opposition

Abordé par : Frank Pallone, membre du Congrès (démocrate, New Jersey)

“Je pense que vous devriez vous engager à changer certains paramètres par défauts.”

La création d’une nouvelle réglementation est un procédé ardu et compliqué. Mais une chose que Facebook pourrait faire est de passer à un modèle de consentement, qui permet aux utilisateurs de choisir s’ils veulent rendre quelque chose public, qui est actuellement l’option par défaut (et la plus populaire) pour poster du contenu.

Dans le même ordre d’idées, on a demandé à Zuckerberg de répondre au membre du Congrès Frank Pallone sur la façon dont l’entreprise pourrait envisager de recueillir moins d’informations sur ses utilisateurs.

3) Les répercussions lors d’erreurs de censure

Abordé par : Steve Scalise, membre du Congrès (républicain, Louisiane)

“Y a-t-il une directive qui définit l’introduction d’un parti pris dans les algorithmes ? Et, avant toute chose, êtes-vous au courant de ce parti pris que beaucoup de gens ont remarqué et analysé ?”

Un aveu surprenant par Zuckerberg avant ces auditions était que, bien qu’il ait reconnu que l’entreprise a commis de grosses erreurs, personne n’a été licencié dans l’affaire de Cambridge Analytica.

Le représentant Steve Scalise veut aller plus loin dans la question de la responsabilité.

Dans les cas où Facebook annule une décision de retirer un contenu, c’est-à-dire l’admettre comme étant trop censuré, à quel genre de répercussions les responsables ont-ils dû faire face ? Si quelqu’un a créé un algorithme qui filtrait injustement certaines opinions politiques, y a-t-il eu une répercussion ?

4) Les règles spécifiques concernant les mineurs

Abordé par : Ed Markey, Sénateur (démocrate, Massachusetts)

“Nous laissons nos enfants vulnérables aux prédateurs commerciaux les plus avares du pays qui les exploiteront à moins que nous n’ayons une loi en vigueur.”

Sur Facebook, l’âge minimum des utilisateurs est de 13 ans, à l’exception de l’application Messenger for Kids (qui ne collecte pas le même type de données que l’application principale de Facebook).

Mais pour les 13-18 ans, ou peut-être 21 ans, ce qui se passe durant ces années si délicates devrait être protégé par des règles plus strictes, a suggéré le sénateur Ed Markey.

Zuckerberg a dit que l’idée “méritait beaucoup de discussion”, mais peut-être pas une nouvelle loi. Il a promis de demander à son équipe de “peaufiner les détails”.

5) Combien y a-t-il de boutons “j’aime” et “partager” ?

Abordé par : Debbie Dingell, membre du Congrès (démocrate, Michigan)

“Peu importe que vous ayez un compte Facebook. Grâce à ces outils, Facebook est en mesure de recueillir de l’information sur nous tous.”

Il semble que partout où l’on regarde, il y a un bouton qui nous invite à “aimer” ou à partager des choses sur Facebook, en effet, il y en a un sur la page que vous êtes en train de lire. Une demande d’au moins estimer le nombre de boutons de Facebook peut sembler à première vue comme une demande futile, mais la réponse pourrait tout à fait être quelque chose. Les boutons “j’aime” permettent à Facebook de suivre les utilisateurs sur des pages qui ne font pas partie de Facebook, fournissant ainsi plus de données pour les annonceurs de publicité. S’il est possible de totaliser le nombre de boutons sur le Web, attendez-vous à un nombre de centaines de millions, c’est-à-dire des centaines de millions de pages avec lesquelles Facebook suit votre activité au-delà de ses propres frontières.

Les chatbots pourraient-ils signer la fin des services supports ?

Les chatbots pourraient-ils signer la fin des services supports ?

Un consommateur a-t-il eu l’occasion d’appeler un site de vente au détail avec des questions au sujet de sa commande ces mois? Il y a de grandes chances qu’il ait interagi avec un robot. Ou, peut-être quelqu’un a-t-il voulu faire des changements sur sa couverture médicale ? La « personne » à l’autre bout pourrait bien avoir été un chatbot, et non un humain. Les chatbots changent radicalement la façon dont le service à la clientèle est fourni dans une variété d’industries et ouvrent des possibilités illimitées pour une croissance continue. Une question demeure cependant : les chatbots pourraient-ils signer la fin des services d’assistance au consommateur ?

Qu’est-ce qu’un chatbot ?

Plus vieux que Clippy, le trombone utile sur Microsoft Word, les chatbots existent depuis les années 1960, mais ce n’est que maintenant qu’ils entrent dans le courant dominant. Pour le dire simplement, les chatbots sont des programmes informatiques automatisés qui sont conçus pour mener une conversation apparemment naturelle avec un humain. Ils utilisent des capacités d’intelligence artificielle en constante évolution pour pouvoir fournir des informations, résoudre des problèmes, vendre des produits ou simplement divertir.

Les chatbots peuvent prendre de nombreuses formes et opérer dans de nombreux endroits, mais ceux qui sont au cœur de tout le buzz actuel sont les chatbots d’applications de messagerie. Très souvent, les interactions entre les utilisateurs et les chatbots se produisent sous la forme de communications textuelles. Les exemples comprennent Facebook Messenger. Cependant, de nombreuses plateformes de service à la clientèle utilisent des chatbots depuis un certain temps pour réduire le nombre d’appels téléphoniques entrants, les questions fréquemment posées et d’autres problèmes courants liés au service à la clientèle.

Les avantages de l’utilisation de Chatbots

L’un des avantages réels que les chatbots apporteront est l’amélioration de l’expérience client. Comme déjà mentionné, les chatbots sont excellents pour agir en tant qu’assistants, que ce soit un assistant personnel qui vit dans un téléphone, ou celui qui vit dans la plate-forme de médias sociaux d’entreprises, de Facebook Messenger, ou même de WhatsApp.

  • Un service à la clientèle plus efficace

L’efficacité est la clé en matière de service client, en particulier dans le centre de contact. Minimiser les temps d’arrêt permet aux agents d’assister davantage d’utilisateurs et de clients, ce qui signifie une expérience améliorée tout autour. Les chatbots sont formidables quand il s’agit d’améliorer l’efficacité et la productivité des agents. Les entreprises tentent actuellement d’éliminer les demandes d’assistance les moins importantes en recommandant aux utilisateurs de visiter le site web pour leurs FAQ ou de suivre des tutoriels, mais la plupart d’entre nous veulent simplement parler à quelqu’un pour obtenir les réponses.

Les Chatbots agissant comme première ligne de défense aideront à gérer ces demandes moins cruciales et plus simples avec une touche plus personnalisée sous la forme d’une conversation. En attendant, des sujets plus complexes seront redirigés vers les agents, ce qui garantit que les agents peuvent gérer un plus grand nombre de sujets complexes au lieu d’être enlisés dans de simples questions.

  • Une expérience améliorée pour les utilisateurs mobiles

Des experts ont récemment examiné la solution de service à la clientèle intégrée d’Helpshift, une nouvelle idée qui apportera un changement radical sur la façon dont les utilisateurs mobiles peuvent recevoir du soutien et de l’aide directement dans les applications qu’ils utilisent. Helpshift permet aux utilisateurs non seulement d’accéder à ces bases de connaissances, hors ligne sur leur téléphone, mais aussi d’avoir une conversation avec un agent directement dans l’application. Les chatbots pourraient jouer ce rôle. Ils permettraient à la clientèle de mieux se servir des plates-formes qu’ils utilisent déjà, telles que Facebook Messenger et WhatsApp, pour bénéficier instantanément d’une assistance lorsqu’ils sont en déplacement.

  • Une expérience plus personnelle

Les chatbots peuvent être utilisés pour fournir une expérience plus personnalisée pour les utilisateurs. Un chatbot qui porte une conversation, même s’il s’agit d’un script, sera beaucoup plus personnel et plus réactif que de simplement dire aux clients de le découvrir par eux-mêmes sur le site web. Les chatbots peuvent être perçus comme des assistants personnels, ou comme des agents de soutien personnel, pour gérer des questions courantes. Bien sûr, cela va permettre aux chatbots de devenir encore plus personnels, peut-être en apprenant sur les préférences d’achat du client pour faire des recommandations, ou en l’informant sur les promotions.

  • Une assistance adaptée aux clients

À la fin de la journée, les chatbots offriront un énorme coup de pouce à l’amélioration de l’expérience client. Grâce à la simplicité d’utilisation des applications et des plates-formes qu’ils utilisent déjà, les clients profiteront d’une expérience essentiellement transparente. Puisqu’il est également possible de le faire sur une plate-forme mobile, les clients bénéficieront d’une connectivité et d’une disponibilité de soutien accrues.

Le logiciel Call Center, qui est devenu un logiciel de centre d’appels, est né de la nécessité de s’adapter au web chat, au courrier électronique, au service client et même aux médias sociaux. L’industrie n’est donc pas étrangère à l’ouverture de nouveaux canaux. Les chatbots sont la prochaine étape logique, et offrent le bonus supplémentaire pour aider les agents.

Ce que cela signifie pour le service à la clientèle

Les chatbots offrent la prochaine étape logique dans l’innovation pour le service client, en particulier si l’objectif final est d’améliorer l’expérience client. En interagissant directement avec un chatbot, les clients peuvent recevoir des réponses plus directes à des questions plus simples et offrir une sensation personnalisée. Le développement continue, les prochaines années verront l’apparition de chatbots plus intelligents, plus puissants, et capables de résoudre des problèmes plus complexes.

Cependant, dans leur état actuel, les Chatbots sont loin de remplacer les agents et de supprimer le support client animé par des humains. Les clients recherchent toujours cette approche humaine, et la vitesse de résolution qui peut accompagner une approche humaine. Les chatbots ont aussi leurs limites:

Les chatbots sont seulement aussi intelligents que leur ensemble de règles leur permet d’être, ou aussi intelligents que leur collection de connaissances. Les chatbots manquent d’émotion humaine, d’empathie et de compréhension. Alors qu’ils peuvent obtenir rapidement des informations, ils ne peuvent pas exprimer ce qui nous rend humain. Un groupe de réponses préprogrammées peut devenir inadapté lorsque le client est frustré ou contrarié.